La forte croissance de l’engagement des parties prenantes liée à la convergence des technologies, la conscience sociale et les changements générationnels

Boréalis permet aux sociétés de s’adapter avec la mise à jour estivale de sa plateforme d’engagement des parties prenantes, incluant la Planification des engagements beta et d’autres innovations

18 juillet, Magog, Québec : Boréalis, le leader en applications d’engagement des parties prenantes, annonce la mise à jour estivale de sa plateforme d’engagement des parties prenantes, incluant la Planification des engagements beta. Cette nouvelle fonctionnalité lie la stratégie d’engagement à l’exécution, permettant aux sociétés d’engager en continu avec leurs parties prenantes, à travers le monde. La mise à jour estivale de Boréalis inclut aussi d’importantes améliorations aux capacités d’évaluation des parties prenantes qui aident les organisations à comprendre de façon systématique qui sont leurs parties prenantes les plus influentes. La Planification des engagements et l’Évaluation des parties prenantes de Boréalis diminuent la complexité, uniformisent le flux et les processus d’engagement, en plus de permettre aux organisations de développer et maintenir des relations complexes, à grande échelle.

Selon le Président de Boréalis Patrick Grégoire : « Au cours des 9 derniers mois, nous avons pu observer une importante augmentation dans l’intérêt général porté envers l’engagement des parties prenantes chez de nouveaux clients dans de nouvelles industries – bien au-delà des secteurs plus traditionnels des mines, du pétrole et de l’énergie – avec un focus bien ciblé sur la durabilité, les affaires publiques et l’engagement avec le milieu. L’automatisation de la planification des engagements avec les parties prenantes, des tâches et des évaluations aident les professionnels en relations avec les communautés à établir des relations de confiance et un dialogue ouvert avec leurs parties prenantes les plus influentes – à grande échelle – de façon plus rapide et efficace. »

Les organisations doivent constamment s’engager dans un nombre croissant de relations complexes et interconnectées, qui doivent avoir une influence significative sur leur réputation, leurs opérations et leur durabilité. Plusieurs rapports récemment parus soulignent l’expansion des attentes et du pouvoir des parties prenantes :

• Changements des missions corporatives : Le Edelman Trust Barometer 2018 indique que développer la confiance (69%) est maintenant le rôle principal pour les PDG; la confiance envers les experts surpasse maintenant la confiance envers les pairs; et on s’attend maintenant des sociétés qu’elles soient vecteurs de changement.
• Des niveaux de confiance plus faibles : Le Deloitte Millenial Survey 2018 démontre que seule une minorité des milléniaux croit que les sociétés se conduisent de façon éthique.
• Les milléniaux changeront tout : « … l’édifice de la gouvernance d’entreprise qui repose sur l’idée de maximiser uniquement la valeur pour les actionnaires viendra s’écrouler, pour donner place à une nouvelle fondation pour les sociétés américaines, composée de la confiance, des valeurs et des croyances des milléniaux. » (How Millennials Could Upend Wall Street and Corporate America, Brookings)
• Les consommateurs achètent avec une conscience sociale : « Près des deux tiers des consommateurs à travers six marchés internationaux croient qu’ils sont « responsables d’acheter des produits avec une empreinte positive pour l’environnement et la société », selon le Harvard Business Review, The Comprehensive Business Case for Sustainability.
• Les investisseurs encouragent la responsabilité sociale : Le US Forum for Sustainable and Responsible Investment (SRI) estime que plus du cinquième (8.7 T$) des fonds gérés dans le secteur privé aux États-Unis sont contrôlés par des critères du SRI.
• Tout le monde, partout, a une voix : Les statistiques d’accès global au web du Pew Research Center révèlent que la génération milléniale frôle le 100% d’accès à Internet dans plusieurs des économies majeures du monde. En 2016, c’est approximativement 62.9% de la population mondiale qui possédait un téléphone mobile, selon Statista.